Les Observateurs de France 24 vous propose cette semaine une émission spéciale Iran. Grâce à nos observateurs, nous allons vous faire voir ce pays comme vous ne l'avez jamais vu.

Témoignages :  Les Iraniennes éprises de liberté

En Iran, l'arrivée au pouvoir d'un président perçu comme modéré, Hassan Rohani, a fait naître beaucoup d'espoirs. Et notamment chez bon nombre de femmes, qui se disaient que les règles très strictes qui leur sont imposées allaient être un peu assouplies. Et bien pour nos Observatrices, le bilan est pour l'instant mitigé. Il y a c'est vrai un vent de liberté qui souffle, et notamment dans les cheveux des Iraniennes, mais il y a aussi toujours beaucoup de conservateurs qui ne veulent pas, eux, que la situation des femmes change dans leur pays.

Un drone iranien qui sauve des vies

 

Regardez ce que ces étudiants iraniens ont fabriqué avec les moyens du bord. Il s'agit d'un drone, qui pourrait servir selon eux à surveiller les côtes du pays pour repérér les nageurs en détresse. Ici on le voit en démonstration dans la mer caspiennen, au nord du pays. L'engin est très peu cher, il est simple d'utilisation. Et surtout pour une fois c'est un drone qui ne tue pas, mais qui sauve des vies.

La tempête que Téhéran n’avait pas prévue

Vous vous rappelez peut être cette  tempête de sable énorme qui a balayé Téhéran il y a quelques semaines. Et bien certains internautes iraniens  considèrent que leurs autorités auraient pu prévoir la catastrophe, qui a tout de même fait 5 morts, et prévenir leur population. Mais sur les réseaux ils prennent ça avec humour. Leur message, pour résumer, c'est que même si Godzilla débarquait dans la capitale iranienne, le gouvernement ne s'en rendrait même pas compte.

Best Obs 3 : La musique de rue pour redonner le sourire

En Iran, les musiques occidentales sont normalement interdites. Mais ça, c'est la règle officielle, car en réalité, même dans la rue on trouve maintenant des groupes qui jouent tous les types de musique. Notre Observateur a créé une page Facebook pour faire connaître ces musiciens de rue. Il nous dit que ce n'est pas vraiment pour l'argent qu'ils descendent dans la rue avec leurs instruments. Ils veulent surtout donner un peu le sourire aux passants.

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