L'essentiel
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Un deuxième groupe d'otages libérés par le Hamas qui les retenait dans la bande de Gaza est arrivé en Égypte samedi soir, selon des images diffusées par la télévision égyptienne. Selon les autorités égyptiennes et israéliennes, 13 otages israéliens et quatre Thaïlandais ont été relâchés par le Hamas. Leur libération, retardée une partie de la journée, a fini par être débloquée dans le cadre de l'accord de trêve entre Israël et le Hamas.
- Alors qu'une source proche du Hamas avait annoncé qu'un deuxième groupe de 14 otages retenus à Gaza avait "commencé" à être remis à la Croix-Rouge en échange d'une quarantaine de prisonniers palestiniens, la branche armée du Hamas avait par la suite déclaré qu'elle avait finalement décidé de reporter leur libération jusqu'à ce qu'Israël "respecte l'accord" et s'engage à autoriser l'entrée de camions d'aide humanitaire dans le nord de l'enclave palestinienne.
- Après l'interruption du transfert pendant plusieurs heures, durant lesquelles le Qatar et l'Égypte sont de nouveau intervenus en médiateurs, le Hamas a finalement annoncé qu'il libérerait les otages israéliens censés sortir de Gaza avant minuit, conformément à l'accord conclu avec Israël.
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L'Égypte a indiqué avoir reçu des signaux positifs de toutes les parties concernant une éventuelle prolongation de la trêve dans la bande de Gaza pour un ou deux jours.
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L'essentiel du 24 novembre
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Treize otages israéliens, dix Thaïlandais et un Philippin détenus par le Hamas ont été libérés. Cette libération a eu lieu quelques heures après le début de la trêve entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, entrée en vigueur vendredi matin.
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De son côté, l'État hébreu a libéré 39 détenus palestiniens, des femmes et des mineurs, détenus dans les prisons israéliennes.
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La trêve a permis à l'ONU d'"augmenter" la livraison d'aide humanitaire dans l'enclave où 137 camions ont déjà été déchargés, s'est félicitée l'agence des Nations unies chargée de la coordination humanitaire (Ocha).
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Dès vendredi matin, des milliers de Palestiniens déplacés par le conflit ont profité de la trêve et se sont pressés sur les routes du sud du territoire pour "rentrer à la maison".
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Israël a décidé de convoquer les ambassadeurs de Belgique et d'Espagne pour une "réprimande sévère", après que leurs chefs de gouvernement ont dénoncé, depuis l'Égypte, "la destruction de Gaza" et appelé Israël à "reconnaître l'État de Palestine".
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP