Au menu de cette seconde partie de la revue de presse du vendredi 4 mai : les questions soulevées par les élections législatives de dimanche au Liban, la visite d'Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie, les avantages auxquels n'ont pas renoncé les sénateurs français, et la joute verbale entre le Britannique Nigel Farage et le Belge Charles Michels.
Cette deuxième chronique du vendredi 4 mai 2018 est consacrée en partie aux élections législatives qui auront lieu au Liban dimanche.
Dans un premier article, L'Orient le Jour se montre peu optimiste quant à la participation, qui pourrait s'avérer historiquement basse dans le pays du Cèdre. Pour preuve, les Libanais de l'étranger qui votaient le week-end dernier étaient moins nombreux au final que ce que les autorités espéraient. Dans un second article, le journal dénonce une "tradition désuète qui n'est même plus conforme aux lois en vigueur", mais qui perdure encore : le sacrifice d'animaux teints aux couleurs des partis politiques en lice pour les élections.
Le site de France 24 propose un reportage sur trois femmes parmi les 86 qui se présentent aux élections. Notons qu'elles n'étaient que douze en 2009. Aujourd'hui, elles sont prêtes, disent-elles, mais estiment que c'est le système politique qui ne l'est pas.
Autre actualité du jour, la visite d'Emmanuel Macron en Nouvelle Calédonie à l'approche du référendum d'autodétermination. Demain en Nouvelle Calédonie et Le Figaro évoquent ensemble les revendications des anti-indépendantistes, ces calédoniens loyalistes qui se disent majoritaires sur l'archipel.
Enfin, en Métropole, Le Parisien donne la parole à ces députés qui fustigent les avantages auxquels les sénateurs français n'ont pas renoncé. En Belgique, Le Soir nous dit tout de la joute verbale qui a opposé Nigel Farage, député eurosceptique, à Charles Michels, Premier ministre belge à Bruxelles, le premier expliquant au second que la Belgique n'était "pas un vrai pays."