Dans cette revue de presse française du 17 novembre : il n'est pas trop tard pour sauver la planète, c'est le cri d'alarme - et du cœur - de Libération. Au programme aussi : le Premier ministre libanais démissionnaire Saad Hariri est attendu samedi à Paris. Et pourquoi le Goncourt des lycéens est devenu un prix qui compte !
Alors que la 23e conférence sur le climat, la COP23, s’achève ce vendredi à Bonn, en Allemagne, Libération estime qu’à "force de prédire le pire, on décourage jusqu’à l’envie d’agir". Mais "non, il n’est pas trop tard", assure le quotidien, exemples à l’appui.
C’est demain, samedi, qu’est attendu à Paris Saad Hariri. Pour Le Figaro, "la France parraine une sortie de crise" : "Retenu à Riyad depuis le 4 novembre, le premier ministre libanais démissionnaire a accepté l’invitation d’Emmanuel Macron."
Enfin, c’est un prix littéraire qui fait aujourd’hui davantage vendre que le Goncourt ou le Renaudot : le 30e Goncourt des lycéens, décerné par de jeunes lecteurs, a été attribué à la romancière Alice Zeniter pour "L'Art de perdre". Un prix entré "dans la cour des grands", écrit en une Le Télégramme.