
Dimanche, 64,6 % des électeurs tunisiens se sont rendus aux urnes pour élire leur président. Une élection historique, mais sur fond de désillusion et de crise de sociale.
De nombreux jeunes diplômés tunisiens sont aujourd'hui au chômage. Le chômage et les conditions de vie ont pourtant été l’une des raisons principales du soulèvement de décembre 2010-janvier 2011, parti des régions de l'intérieur de la Tunisie.
Mais aujourd'hui, la jeunesse n'a pas vraiment l'impression que son quotidien a changé. Notre correspondante est allée à la rencontre de ces jeunes déçus.
Une émission préparée par Patrick Lovett.