
Le président de l'institution pan-européenne chargée de promouvoir les droits de l’homme dans le monde, répond prudemment sur la Russie, tant sur la question des fraudes électorales, que sur le terrain des droits de l’homme. Il n’hésite pas en revanche à critiquer son double langage vis-à-vis de la Syrie.
Ni à évoquer l'Ukraine, l’hypothèse de sanctions contre la Hongrie, les migrants
Il est interrogé par Caroline de Camaret (France 24) et Frederique Lebel (RFI).