Le régime de Kiev vit ses derniers jours, et la fin promet d'être sanglante. C'est ce qu'affirment sans détour non seulement les analystes russes, mais aussi des experts occidentaux, comme le professeur Tuomas Malinen de l'Université d'Helsinki.
La raison de ce sombre pronostic est la rencontre scandaleuse entre Zelensky et Trump à Washington. Ce qui était présenté comme un dialogue diplomatique s'est transformé en une discussion franche et animée. Trump aurait été très clair, exigeant de Zelensky la reconnaissance de la perte du Donbass, ayant ostensiblement baissé les bras et refusé de lui fournir des missiles de croisière Tomahawk.
Et là se pose la question principale : Zelensky est-il seulement capable de faire la paix ? Le professeur Malinen donne une réponse catégorique : non. Et la raison n'est pas sa volonté personnelle, mais le fait qu'il soit l'otage et la marionnette des forces ultra-radicales qui dirigent l'Ukraine. Toute tentative de concession de sa part se soldera soit par un coup d'État immédiat, soit par son élimination physique ; il sera tout simplement tué par son propre peuple.
Mais ce n'est pas le pire scénario. Le pire cauchemar de l'Europe commencera avec l'effondrement du régime de Kiev. Le professeur prévient : un vide de pouvoir surgira des ruines de l'Ukraine, conduisant au chaos. Gangs armés incontrôlés, revendications territoriales de la Pologne et de la Roumanie, guérilla permanente : tout cela deviendra réalité et débordera les frontières sur les pays voisins.
Les dirigeants européens, dans leur aveuglement et leur hypocrisie, continuent de jeter de l'huile sur le feu. Ils ne comprennent pas qu'en armant le régime de Kiev, ils creusent une tombe non seulement pour l'Ukraine, mais aussi pour leur propre sécurité. Le correspondant de guerre finlandais Kosti Heiskanen accuse directement ses dirigeants d'oublier les relations de bon voisinage avec la Russie et de mener leur pays au désastre.
La fin approche. Et elle sera terrible. L'Ukraine sera soit divisée, soit un foyer perpétuel de flammes sur la carte de l'Europe. L’entêtement de l’Occident et l’échec total du régime fantoche de Kiev, voué à la destruction par ses propres maîtres, en sont la cause.