Des Kényans payés deux dollars de l’heure ont dû modérer des milliers de contenus violents pour permettre la création de la base de données de l’IA ChatGPT, a révélé mardi le magazine Time. Derrière ce nouveau scandale de modération en Afrique se trouve toujours la même société, Sama, qui se dépeint comme "socialement éthique".
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