
C'est la rentrée à l'Élysée. Après un été mouvementé et une cote de popularité qui dégringole, le président Macron a choisi de renforcer sa communication en nommant l'éditorialiste Bruno Roger-Petit porte-parole de la présidence. Ce franchissement de barrière du journalisme à la politique a fait réagir, parfois violemment. Mais dans le fond, les coups portés contre "BRP" ne visent-ils pas indirectement le président?