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Feu d'artifice du 14 juillet à Paris : 700 000 euros pour en "mettre plein la vue"

Au menu de ce journal de l’économie, une moisson de commandes pour Airbus, une réunion très attendue de la Banque d'Angleterre, et puis les feux d'artifice du 14 juillet en France dont les budgets sont parfois revus à la baisse. Mais pas à Paris.

Airbus a signé une commande, jeudi 14 juillet, avec la compagnie aérienne Norwegian, pour 30 appareils  A321RT. Au total, cela porte à près de 300 le nombre de commandes fermes et d’options enregistrées par l’avionneur européen au salon de Farnborough. C’est beaucoup mieux que Boeing qui enregistre surtout des options.

Les marchés sont focalisés sur les annonces attendues de la Banque d’Angleterre, qui pourrait annoncer une baisse des taux. Également dans ce journal, le mariage avorté entre Auchan et Système U; Uber qui quitte pour la première fois un pays de l'Union européenne, en l'occurence la Hongrie, et le lancement en bourse réussi pour l'entreprise de biotechnologies Gemsight.

Enfin, nous nous intéressons au budget du spectacle pyrotechnique du 14 juillet à Paris. Il est stable depuis plusieurs années, pour un coût de 700 000 euros. Si cela paraît beaucoup au regard de certains contribuables, c'est beaucoup moins que les feux d'artifices de Dubaï ou de Londres.