Hassan Rohani, le président iranien, a multiplié les signes d'ouverture. Une partie de la presse iranienne accueille ces signes avec espoirs, mais les plus conservateurs imaginent mal que le mur de la méfiance tombe aussi facilement. Les médias américains, eux aussi? sont partagés entre espoir et scepticisme. En France, les Roms ne quittent plus l'actualité. Une déclaration du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, alimente un peu plus la polémique