Cette semaine, nos Observateurs témoignent d’une répression toujours plus sanglante en Syrie, même en présence d’une délégation de l’ONU ; ils nous font découvrir les flash mobs, une nouvelle forme de délinquance apparue aux Etats-Unis.
Présentation : Julien Pain. Equipe éditoriale : Gaëlle Faure, Sarra Grira, Peggy Bruguière, Ségolène Malterre.
SUJET 1 : SYRIE
Le président syrien Bashar al-Assad a appelé le secrétaire général des nations unies pour l'assurer que la répression était terminée. Quelques jours plus tard, le 22 août, une délégation onusienne arrivait donc dans le pays pour vérifier ses dires.
Vous allez voir que les soldats syriens ont simplement attendu que les voitures de l'ONU aient passé le coin de la rue pour reprendre leur massacre. Un responsable de l'ONU a confirmé que la délégation envoyée à Homs avait dû quitter la ville précipitamment. Les autorités syriennes leur ont demandé de partir pour pouvoir assurer leur sécurité.
On part pour Homs, en Syrie, avec notre Observateur qui témoignage sous le pseudonyme de Abou Maymouneh
SUJET 2 : ETATS-UNIS
Vous connaissez certainement les flashs mobs, ces performances en public dont les vidéos font fureur sur Internet. Il s'agit en général d'actions humoristiques, ou en tout cas joyeuses.
Et bien aux Etats-Unis, quelques délinquants semblent s'être inspirés de ces flash mobs pour organiser des événements beaucoup moins amusants. Il s’agit de vols éclair.
On continue le voyage à Germantown, dans l'Etat du Maryland, aux Etats-Unis, avec Jorge Ribas, le représentant des commerçants hispaniques de la région.