Clovis Casali reçoit une figure majeure de la scène littéraire française, l’auteur Olivier Rolin, qui vient de publier « Bakou, derniers jours » chez Seuil. Olivier Rolin raconte une histoire de suicide programmé, le sien. L’écriture est subtile, l’univers fantasmé mais jamais sinistre. L’auteur aime citer Montaigne pour qui « la préméditation de la mort est la préméditation de la liberté ».
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