L'essentiel
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Douze otages supplémentaires ont été relâchés par le Hamas. Il s'agit de "dix Israéliens et deux étrangers", a indiqué l'armée israélienne dans un communiqué. En échange, trente prisonniers palestiniens ont également été libérés par Israël, tous des femmes et des jeunes de moins de 19 ans, a annoncé l'autorité pénitentiaire israélienne.
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Peu avant la fin de la trêve de quatre jours, les États-Unis et le Qatar ont annoncé sa prolongation jusqu'à jeudi, 5 h GMT, afin de permettre la libération d'environ 20 otages et 60 prisonniers supplémentaires, soit un ratio d'un otage pour trois prisonniers comme les jours précédents.
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Cette pause des combats doit permettre en parallèle l'entrée de nouveaux camions d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, assiégée et bombardée pendant sept semaines par l'armée israélienne en représailles à l'attaque sanglante lancée par le Hamas contre Israël le 7 octobre.
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Les chefs des services de renseignement américain et israélien se sont rendus mardi à Doha pour tenter de "consolider les progrès de l'accord de pause humanitaire prolongée" et discuter avec le Premier ministre du Qatar de la "prochaine phase" d'un accord potentiel entre le Hamas et Israël, selon une source informée.
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Deux adolescents palestiniens ont été tués lors de heurts avec l'armée israélienne mardi en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 56 ans, a indiqué le ministère palestinien de la Santé.
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Les États-Unis vont envoyer en Égypte trois avions militaires chargés d'aide humanitaire destinée à la bande de Gaza à partir de mardi, ont annoncé des responsables de la Maison-Blanche.
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Le secrétaire d'État américain Antony Blinken se rendra une nouvelle fois en Israël et en Cisjordanie d'ici la fin de semaine, selon un haut responsable du département d'État.
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Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP
Avec AFP, Reuters et AP