L'essentiel du 22 novembre
-
Aucun otage israélien aux mains du Hamas ne sera libéré avant vendredi, a annoncé le chef du Conseil national de la sécurité israélien mercredi soir. Il n'y aura pas non plus de trêve dans les combats avant vendredi, contrairement à ce qu'avaient annoncé initialement les protagonistes, a indiqué à l'AFP un responsable israélien
-
Israël avait donné son feu vert, dans la nuit de mardi à mercredi, à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza.
-
"Le début de cette pause sera annoncé dans les prochaines 24 heures et durera quatre jours, avec possibilité de prolongation", a déclaré sur X le ministère qatari des Affaires étrangères, se félicitant du "succès" de sa médiation conjointe avec l'Égypte et les États-Unis.
-
Le président américain Joe Biden s'est déclaré "extraordinairement satisfait". La Russie a également salué l'accord. "C'est exactement à quoi la Russie a appelé dès le début de l'escalade du conflit", a souligné la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
-
L'armée israélienne a affirmé mercredi avoir intercepté un "missile de croisière" qui s'avançait vers le sud du pays, un tir revendiqué par les rebelles houthis au Yémen.
-
Le fils de Mohamed Raad, membre important du Hezbollah au Parlement libanais, a été tué dans un bombardement israélien dans le sud du Liban, a indiqué à l'AFP une source proche de la famille.
Si le live ne s'affiche pas, veuillez rafraîchir la page.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP
Avec AFP, Reuters et AP