!["Un projet de protection de la sécurité nationale à Hongkong" "Un projet de protection de la sécurité nationale à Hongkong"](/data/posts/2022/07/25/1658739180_Un-projet-de-protection-de-la-securite-nationale-a-Hongkong.jpg)
Dans la revue de presse de ce vendredi 22 mai : la Chine continentale est-elle en train de renforcer un peu plus son emprise sur Hongkong ? A Paris, le temps invite à profiter du plein air, sauf que la fermeture des parcs et jardins municipaux, en raison du coronavirus, créé la polémique. Et puis, "Mortelle Adèle", la petite fille désobéissante que les parents n’aimeraient pas avoir - mais dont les plus jeunes raffolent - sort un nouvel album de ses aventures.
Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile.
Alors que va s’ouvrir la session annuelle du parlement chinois, The China Daily titre : "Un projet de sauvegarde de la sécurité nationale à Hongkong". Ce projet de loi concernant la région administrative spéciale "fait suite à des mois de troubles", précise The China Daily. Il "signifiera la fin de Hongkong", s’inquiète surtout The Guardian, qui cite notamment Chris Patten, le dernier gouverneur britannique du territoire. Il qualifie cette décision "d’agression totale contre l'autonomie, l'état de droit et les libertés fondamentales".
En France, le Figaro illustre sa Une du jour avec une photo des quais du canal Saint-Martin, à Paris, pris d’assaut en ce long week-end ensoleillé de l’Ascension : "Les Parisiens se sont rués sur les rares espaces de plein air de la capitale" malgré les règles de distanciation sociale qui sont en vigueur. "Le gouvernement n’autorise toujours pas la réouverture des parcs et jardins de Paris. Une décision que la maire, Anne Hidalgo, comme ses adversaires de droite et du centre ne comprennent pas."
Enfin, Mon Quotidien, journal des 10-13 ans, consacre sa Une à "Mortelle Adèle, star de la BD française" jeunesse, qui sort son 17ème album, ainsi qu’un roman. "Cette gamine passe son temps à désobéir", comme la définit son auteur, qui raconte avoir créé le personnage pour faire face au harcèlement dont il a été victime au collège.