Alors que la contestation algérienne célèbre son premier anniversaire, entretien avec le journaliste Farid Alilat, auteur de "Bouteflika, l’histoire secrète" (éd. du Rocher), une enquête explorant le rapport obsessionnel que l'ancien président algérien entretenait avec le pouvoir.
Le 22 février 2019, les Algériens, perçus comme résignés et dépolitisés, descendaient en masse dans les rues des grandes villes, notamment à Alger où toute manifestation est pourtant interdite, pour s'opposer à la volonté annoncée du président Abdelaziz Bouteflika, profondément diminué par la maladie, de briguer un cinquième mandat.
Six semaines de manifestations de plus en plus massives ont contraint le 2 avril le haut commandement de l'armée, pilier du régime, à exiger et obtenir la démission du chef de l'État, au pouvoir depuis 20 ans.
Un an après, alors que le mouvement de contestation continue de réclamer la fin du "système", entretien avec le journaliste Farid Alilat, auteur de "Bouteflika, l'histoire secrète", une enquête explorant le rapport obsessionnel que l'ancien président algérien entretenait avec le pouvoir.
Avec AFP