
La presse réagit largement ce mardi 28 août aux accusations de l’Organisation des nations unies contre la junte birmane. Également au programme de cette revue de presse, Trump fait le minimum syndical après la mort de McCain. Et un dauphin solitaire créé la polémique au large de la Bretagne.
En Birmanie, "les responsables doivent être reconnus coupables", estime The Guardian qui évoque l'expulsion de 700 000 réfugiés Rohingya et "la mort de peut-être 25 000 personnes". Six hauts gradés birmans sont dans le viseur de l’ONU. Quant à la réputation du prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi, "elle s’est encore dégradée", estime le journal britannique. En Thaïlande, le quotidien The Nation renchérit : son voisin birman doit "faire face à la justice internationale" et le gouvernement thaïlandais ne doit pas se réfugier derrière le langage diplomatique pour dénoncer la situation.
Aux Etats-Unis, c‘est le (quasi) silence de Donald Trump après la disparition de son opposant républicain John McCain qui fait polémique. "Il transforme la mort de McCain en une nouvelle tempête politique", écrit The Washington Post.
Enfin, lorsqu’un dauphin sème la discorde.Cela se passe dans les eaux bretonnes et c’est Le Télégramme qui s’en fait l’écho. Un maire a pris un arrêté interdisant de nager aux côtés de l’animal qui a ses habitudes dans la région. Trop dangereux?