En juillet dernier, le président Emmanuelle Macron avait promis de moderniser les institutions. Il a confirmé qu'un projet de loi de révision constitutionnelle devrait être prêt "au début du printemps". Quarante points sont évoqués, de la réduction du nombre de parlementaires à la présence des anciens présidents de la République au Conseil constitutionnel en passant par le statut de la Corse... Le spectre de cette loi est-il trop vaste ? Ne risque-t-elle pas de rater son objectif ?