Le patron de l'ONU a choisi la Centrafrique pour sa première visite. Il y a un an, la force française Sangaris arrivait à terme, mais le départ des soldats français n’a pas signifié la fin des violences. Les affrontements n'ont jamais vraiment cessé entre les différents groupes armés. Risque-t-on de se retrouver dans la situation pré-génocidaire qu'ont trouvée les soldats français en arrivant en 2013, après la prise de pouvoir de la Séléka et les affrontements avec les milices anti-Balaka?
Uné émission préparée par Florence VIALLA, Flore SIMON et Noufissa CHARAÏ.