Le Parlement tunisien a adopté un projet de loi défendu par le président Béji Caïd Essebsi. Il prévoit d'amnistier d'anciens fonctionnaires de Ben Ali, impliqués dans des affaires de corruption administrative. L’opposition parle d'une atteinte à la révolution. Nous irons aussi au Togo, où le pouvoir a dévoilé son projet de réforme constitutionnelle. L'opposition demande plus.