En Afrique australe, c'est un fléau qui se propage à vitesse grand V : la chenille légionnaire. Un parasite difficilement contrôlable, car résistant aux pesticides. Ces produits montrent aujourd'hui leurs limites et de nombreuses voix s'élèvent contre leur utilisation. Certains les considèrent comme un poison pour la terre, mais aussi pour l'homme. Ils pourraient être cancérigènes, agir sur l'ADN ou encore la fertilité.
Mais peut-on se passer des pesticides ? Des chercheurs français assurent qu’il est possible de réduire leur utilisation d’environ 30 %. D’autres prônent des solutions alternatives, comme l’agriculture biologique ou encore l’agroécologie... De nouveaux modèles pour réapprendre à cultiver.