Après plus de sept années de polémiques, la première "salle de shoot" officielle a ouvert ses portes à Paris, lundi 17 octobre. Le but : réduire les risques sanitaires auxquels s'exposent les toxicomanes et leur offrir un soutien psychologique.
Elle a bien failli ne jamais voir le jour. Après plus de sept années de polémiques, des attaques répétées, des dizaines de banderoles déployées par les riverains, la première "salle de shoot" officielle en France a fini par ouvrir ses portes, lundi 17 octobre, aux toxicomanes à l'hôpital Lariboisière dans le Xe arrondissement de Paris.
Émission préparée par Patrick Lovett et Aline Schmidt.