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Ils avaient menacé de "détruire Pokémon Go" le 1er août. Le groupe de pirates informatiques "PoodleCorp" n'est finalement pas parvenu à mener à bien son attaque.

Au lendemain du 1er août, le jeu à succès "Pokémon Go" existe toujours. Pour les dresseurs de Pokémons, toujours plus nombreux depuis que la version française est sortie le 24 juillet, c'est tant mieux. 

C'en est-il fallu de peu ? En effet, un groupe de pirates informatiques nommé "PoodleCorp" avait menacé de détruire "Pokémon Go" le mois dernier, après avoir revendiqué une première attaque, samedi 16 juillet, en déni de service (DDoS).

Cette information n'avait pu être vérifiée. Mais entre temps, le leader du groupe de hackers n'avait pas hésité à réitérer ses menaces : 

having a bite to eat before we take pokemongo offline pic.twitter.com/Wwh9r37HQd

— XO (@xotehpoodle) 1 août 2016

Il faut dire qu'au vu de l'incroyable engoument suscité par "Pokémon Go", la question des serveurs est cruciale. Ces derniers sont-ils assez puissants pour suivre le rythme ? Problèmes de saturation et pannes de connexion n'ont pas fini d'agacer les joueurs. Un site, "Is Pokémon Go Down or Not", a même été créé afin de consulter si le jeu fonctionne bien dans la région du monde qui nous concerne.

Sûr qu'avec ses millions de dresseurs français, la folie "Pokémon Go" est devenue un véritable phénomène de société. Et réussir à faire tomber un phénomène de société est, pour tout hacker, un fait d'armes de nature à créer une fulgurante notoriété. C'est raté pour cette fois.

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