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La police belge félicitée sur Twitter pour l'arrestation de Salah Abdeslam

Critiquée pour des "manquements" dans le suivi des jihadistes responsables des attentats du 13 novembre à Paris, la police belge a été unanimement saluée, vendredi, sur les réseaux sociaux après la capture du suspect-clé Salah Abdeslam.

Le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders a félicité les "différents services de sécurité" impliqués dans l'opération.

Le parquet a confirmé l'arrestation de Salah Abdeslam. Félicitations aux différents services de sécurité. #Molenbeek

— didier reynders (@dreynders) 18 mars 2016

Par milliers, des "bravo" et "merci" aux policiers belges ont envahi les réseaux sociaux.

Salah Abdeslam ne fera pas d'autres victimes. Soulagement et un immense merci à la police belge pic.twitter.com/5OnMqTQt9P

— Antoine Adam (@Ant1Adam) 18 mars 2016

Force à la police belge et bravo #JesuisBruxelles

— Amélie Neten (@Amelie_Officiel) 18 mars 2016

Le médecin urgentiste Patrick Pelloux, ancien de "Charlie Hebdo", a parlé de la réussite des polices belge et française.

La police Belge et française ont réussi! Bravo a eux

— Patrick Pelloux (@PatrickPelloux) 18 mars 2016

De nombreux responsables politiques français ont également loué les policiers belges :

Félicitations aux forces de l'ordre qui ont permis l'arrestation de Salah Abdeslam, au cours d'une opération policière à Bruxelles

— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 18 mars 2016

#Abdeslam : bravo aux enquêteurs. Que maintenant justice passe et qu'enfin tout soit fait contre le fondamentalisme islamiste.

— Florian Philippot (@f_philippot) 18 mars 2016

Bravo aux policiers français et belges qui ont permis d'arrêter le terroriste Abdeslam,pivot des attentats du 13 novembre.Il faut continuer!

— Roger KAROUTCHI (@RKaroutchi) 18 mars 2016

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Le porte-parole du syndicat français de police Unité SGP-Police FO, Nicolas Comte, a tenu à féliciter tous "les collègues belges et français" à l'origine de l'arrestation de Salah Abdeslam "qui va pouvoir comparaître devant ses juges".

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Au moment où nous écrivons ces lignes, la police fédérale belge, pourtant très active sur Twitter, n'avait pas encore communiqué sur les réseaux. 

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