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Au menu de la revue de presse internationale de ce vendredi 15 février : la déchéance de l'icône Pistorius et le horsegate.

La presse sud africaine revient ce matin sur la face cachée d’Oscar Pistorius, « un héros compliqué. » Compliqué car Pistorius n’était pas que le favori de ces dames, pas que l’athlète handicapé qui perce chez les valides, un autre visage commence désormais à émerger. Celui d’un homme violent.
Une attraction pour la violence sur laquelle revient aussi le Telegraph avec cette terrible phrase : « Pistorius restera dans les mémoires non pour ses courses, mais pour être l’homme dont la petite amie a été abattue. »

Dernier article, dans The Guardian. « Peur et auto-armement en Afrique du sud. » On y découvre une société ultra violente, sur la défensive. Triste bilan, un peu plus de vingt ans après la fin de l’apartheid.

Dans la presse britannique, on revient sur le scandale de la viande de cheval et on s’arrête notamment sur ces trace de PHENYLBUTAZONE retrouvées sur des carcasses de chevaux. Une nouvelle illustration de l’insécurité de la chaine alimentaire européenne. Tellement défectueuse que les Britanniques commencent à se demander s’il est possible qu’ils trouvent dans leur assiette, à leur insu, de la viande de pur-sang. Un vrai sacrilège dans le pays du cheval.

Décidément, la chaine alimentaire pose question. Dans une très sérieuse étude scientifique, rapportée par le New York Times, on apprend que les anti-dépresseurs consommés par les humains se retrouvent dans l’organisme des poissons. Bilan : les poissons sont plus nerveux, moins sociables et mangent plus. La mutation est en marche !