Les pays membres de la Cédéao paraissent être depuis plusieurs mois les témoins impuissants de la crise malienne. Alors que l'ONU et la Cédéao ont jusqu'à présent privilégié le dialogue, certains pays se déclarent partisans d'une solution militaire.
Arthème K. Séléagodji Ahoomey-Zunu se dit ainsi prêt à envisager l'envoi d'une force internationale au Mali.