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Un an déjà que Stéphane Taponier et Hervé Guesquière sont entre les mains de leurs ravisseurs en Afghanistan. Les familles des deux journalistes sont lasses. Entre espoirs et désillusions, elles choisissent de briser le silence.

A la une de Libération deux hommes qui viennent de passer une année, loin des leurs, loin de tout . Et nul ne peut imaginer, sauf ceux qui ont vécu la captivité, ce qu'est la vie d'un otage souligne l'éditorial de Paul Quinio : "Il faudrait s’arrêter de marcher, de manger, de lire, de dépenser, de penser à tout et à rien pour essayer d’imaginer ce que signifie être otage pendant un an."

A la une de la Croix, une si longue attente, une si longue peine. De l’année qui leur a été volée on ne sait rien, nous dit Dominique Quinio dans son édito, rien sinon « les preuves de vie » (Horrible expression pourtant porteuse de soulagement) distillées au compte-gouttes par leurs ravisseurs." 8 français sont actuellement retenus à l’étranger par divers groupes tous islamistes

Le Parisien évoque également le sort des 2 journalistes. Un an déjà. Le quotidien dans ses pages parle aussi d'un autre anniversaire, celui du parti communiste. Le PC autrefois premier  parti politique de France a bien du mal à trouver un second souffle, 90 ans après sa naissance.

Dans le Figaro on s’arrête un instant sur les mots qui ont marqué l’année 2010 en politique Il y a les mots associés au discours sécuritaire ,comme "Identité nationale", "Niqab". Il y a le mot "Roms" aussi, à cause de l’expulsion, durant l’été de nombreux roms, et du durcissement du dicours sécuritaire.

Il y a bien évidemment le mot "Retraites" avec ce bras de fer entre syndicats et gouvernement qui a marqué l’automne. Il y a "Remaniement" pour cette interminable séquence politique qui a accouché d’une souris, ou encore "Mentor" pour François Fillon un Premier ministre qui marque sa différence.

Le Parisien : Frère de Bleu : quelle vie !

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