L'essentiel à retenir :
- L'armée israélienne a déclaré tôt dimanche 29 septembre qu'elle avait frappé des dizaines de cibles "terroristes" du Hezbollah au Liban au cours des douze dernières heures, y compris des lanceurs dirigés vers Israël.
L'essentiel de la veille :
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L'armée israélienne a annoncé samedi avoir "éliminé" le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans une frappe à Beyrouth. Le mouvement islamiste, soutenu par Téhéran, a confirmé l'information. Selon le New York Times, Hassan Nasrallah était sous surveillance israélienne depuis plusieurs mois.
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Un général iranien des Gardiens de la révolution a également péri dans cette attaque massive, ont annoncé les autorités iraniennes.
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Dans un communiqué, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré que la mort du leader du Hezbollah constituait un tournant historique qui pourrait changer "l'équilibre des forces" au Moyen-Orient.
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Le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a été transféré dans un lieu sécurisé à l'intérieur du pays avec des mesures de sécurité renforcées, ont rapporté à Reuters deux responsables régionaux.
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L'Iran, qui a décrété cinq jours de deuil national, a promis de venger la mort du chef du Hezbollah.
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Le président américain Joe Biden a qualifié la mort du leader du Hezbollah de "mesure de justice" pour ses nombreuses victimes, affirmant que les États-Unis soutenaient pleinement le droit d'Israël à se défendre contre les groupes soutenus par l'Iran.
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Le Hezbollah a de son côté affirmé avoir tiré des roquettes sur le nord d'Israël, première attaque après les frappes intenses israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth pendant la nuit.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Avec AFP et Reuters