La vague de Teahupoo est prête pour accueillir les surfeurs des épreuves olympiques en Polynésie. Elle peut atteindre cinq mètres de haut, parfois dix, voire plus. Il y a quelques jours, la mythique vague était majestueuse, ce qui est bon signe à quelques jours du lancement de la compétition.
Les épreuves vont débuter le 27 juillet. Pas moins de 6 000 visiteurs sont attendus. Comme dans l'Hexagone, la sécurité a été renforcée, notamment dans les aéroports. À Faa, à Tahiti, les militaires de l'opération Sentinelle patrouillent.
Également au sommaire de cette émission :
Déblocage de l'axe routier reliant Nouméa au Sud
En Nouvelle-Calédonie, plus de 300 gendarmes ont été mobilisés pour débloquer l'unique axe routier reliant Nouméa au Sud. La route du Mont-Dore est réputée sensible. Des automobilistes y sont souvent agressés. Le couvre-feu a été prolongé jusqu'au 29 juillet.
Sur place, le dégel du corps électoral a mis le feu aux poudres mi-mai. Dans un territoire encore sous tension, la présidente de la province Sud, Sonia Backès, a remis en cause le vivre ensemble des accords de Nouméa. Elle propose aussi la séparation des provinces.
En Guadeloupe, des airbags défectueux
Les airbags Takata sont de nouveau pointé du doigt. En Guadeloupe, un homme de 73 ans mort lors d'un accrochage entre deux voitures. La dégradation de ces airbags seraient plus fréquente dans les régions chaudes et humides comme les Outre-Mer.
"Lunettes pour tous" aide les Martiniquais dans la précarité
Sans ophtalmologue dans le nord de l'île, la fondation "Lunettes pour tous" a permis à une trentaine de Martiniquais dans la précarité de bénéficier de montures et de verres pour enfin voir clair.
En Polynésie, le défilé des porteurs d'oranges
Le défilé des porteurs d'oranges de Punauuia, sur la côte ouest de l'île de Tahiti, annonce la fête de ce fruit. Chaque année, les porteurs d'oranges sont fiers de présenter les premières récoltes au public. Les oranges sont pesées et mesurées lors d'un concours. L'orange de Tamanu est devenue emblématique. Pour la cueillir, les Polynésiens gravissent parfois jusqu'à 800 mètres d'altitude pour atteindre les plateaux et redescendre avec des kilos d'oranges sur le dos.