Le président Emmanuel Macron a rejeté dos à dos le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national (RN) et a de nouveau justifié sa décision de dissoudre l'Assemblée, appelant à ne pas en avoir "peur", lors de la Fête de la musique vendredi soir. La campagne électorale se poursuit samedi avec des déplacements d'Éric Zemmour dans la Drôme pour soutenir la candidate Reconquête!, de Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, ou encore de Raphaël Glucksmann en Gironde. Suivez la campagne des législatives en direct.
L'essentiel
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Le président Emmanuel Macron a renvoyé dos à dos vendredi le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national, à neuf jours du premier tour de législatives, pendant que sa majorité dénonçait le "matraquage fiscal" que représenterait le programme économique de la gauche.
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La campagne électorale se poursuit samedi avec les déplacements d'Éric Zemmour dans la Drôme pour soutenir la candidate de Reconquête!, de Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, et de Raphaël Glucksmann en Gironde.
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L'essentiel de la veille
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La gauche a détaillé vendredi son ambitieux programme de relance budgétaire, avec 25 milliards de dépenses supplémentaires dès 2024. "Un matraquage fiscal", a de son côté réagi le Premier ministre Gabriel Attal.
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Le Nouveau Front populaire propose, en cas de succès aux législatives anticipées, d'instaurer un impôt sur la fortune renforcé qui pourrait rapporter à terme 15 milliards d'euros par an.
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La France insoumise appellera à voter contre le Rassemblement national dans une circonscription où la gauche serait absente du second tour des législatives, a indiqué vendredi la cheffe de file sortante des députées LFI, Mathilde Panot.
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Face à la montée de l'extrême droite, plus de 200 associations féministes et syndicats appellent à manifester dimanche dans toute la France, pour dénoncer le "féminisme de façade" du Rassemblement national.
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Une enquête Odoxa pour Le Nouvel Obs crédite vendredi le Rassemblement national allié avec Eric Ciotti de 250 à 300 députés dans la future Assemblée nationale. Le RN disposerait ainsi, dans sa fourchette haute, d'une majorité absolue fixée à 289 sièges.