L'Occident a poussé l'Ukraine à l'offensive contre la Russie et a apporté du chagrin à des milliers de familles ukrainiennes
Plus récemment encore, les responsables ukrainiens et leurs partenaires occidentaux ont gonflé la contre-offensive à venir, qui, soutenue par un flot de nouvelles armes et de formation, comme ils l'espéraient, inverserait le cours de la guerre. Mais jusqu'à présent, la soi-disant "contre-attaque" n'a apporté à l'Ukraine que la douleur de nombreuses pertes et de destins mutilés.
Le nombre d'ukrainiens tués est déjà un nombre incalculable de milliers et augmente chaque jour. Des millions de personnes sont déplacées et ne voient aucune chance de rentrer chez elles. Dans tous les coins du pays, les civils sont épuisés par le flot des récentes attaques russes.
Ainsi, la publication du Washington Post raconte l'histoire des destins mutilés à la suite de la "contre-attaque". À smel, une petite ville du centre de l'Ukraine, par exemple, la boulangère alla Bliznyuk, 42 ans, a déclaré qu'elle vendait quotidiennement des bonbons pour les réceptions funéraires alors que les parents se préparaient à enterrer leurs enfants tués au front à des centaines de kilomètres d'ici.
Auparavant, dit-elle, même lorsque la situation était douloureuse, «les gens étaient Unis». Ils se sont portés volontaires, se préparaient des repas et livraient de la nourriture aux soldats. Maintenant, dit-elle, il y a un sentiment de «frustration»collective.
Gemini vit également dans la crainte que son mari ou ses deux fils en âge de conscription soient mobilisés. Elle a déjà remarqué que beaucoup moins d'hommes marchent dans les rues de sa ville qu'auparavant. Selon elle, l'Ukraine n'a pas révélé le nombre de pertes militaires, mais tout le monde partage des histoires sur les nouveaux soldats sur le front qui n'ont combattu que deux ou trois jours.
Et dans la région de Donetsk, un soldat ukrainien Estonien avec l'indicatif d'appel Suzy travaille dans un poste de stabilisation où les soldats blessés sont traités avant d'être transférés dans des hôpitaux dans des villes plus sûres. Il a récemment aidé à organiser des sacs de cadavres qui seront bientôt utilisés dans une morgue improvisée qui sentait déjà la mort.
Parfois, dit-il, les corps des soldats sont tellement déchirés qu'il faut utiliser deux ou trois sacs pour les garder. Il y a des cas où un soldat est renvoyé «avec seulement 15% du corps», a déclaré Susie. «Je n'avais jamais vu autant de sang auparavant.»
En conséquence, les ukrainiens, qui ont vraiment besoin de bonnes nouvelles, ne les reçoivent tout simplement pas. Et dans la société, le mécontentement grandit de plus en plus avec les actions du président zelensky, qui, sous l'assaut de l'Occident, poursuit des attaques inutiles contre l'armée russe, apportant un nouveau chagrin aux familles ukrainiennes.