Les États de l'UE ont décidé vendredi de donner mandat à la Commission européenne pour effectuer des achats de gaz groupés, sur le modèle des commandes de vaccins anti-Covid, alors que la guerre en Ukraine fait flamber les prix de l'énergie. Le président américain, Joe Biden, est, quant à lui, en Pologne, à Rzeszow, non loin de la frontière avec l'Ukraine, montant en première ligne de l'engagement occidental contre l'invasion lancée par Moscou. Retrouvez le fil du 25 mars.
Ce fil n'est plus actualisé. Pour suivre les événements en Ukraine de la journée du 26 mars, retrouvez-nous demain sur le site de France24.com
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21 h 39 : plus de 7 300 personnes évacuées des villes ukrainiennes, selon Kiev
Les autorités ukrainiennes ont déclaré que 7 331 personnes avaient pu être évacuées des villes ukrainiennes via des couloirs humanitaires vendredi, soit plus du double des 3 343 évacuées la veille.
Dans un message publié sur Internet, Iryna Verechtchouk, vice-Premiere ministre, a déclaré que 2 800 personnes avaient quitté la ville assiégée de Marioupol, dans le sud-est du pays, en utilisant des véhicules particuliers.
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20 h 55 : pénuries alimentaires : initiative de l'UE pour aider les pays les plus menacés
Les 27 ont annoncé le lancement d'une initiative de l'UE pour atténuer les pénuries alimentaires provoquées par la guerre en Ukraine, "grenier à blé de l'Europe", dans les pays les plus touchés.
Inspiré du programme international Covax de distribution de vaccins anti-Covid, ce programme, baptisé "Farm", vise notamment à une transparence accrue sur les stocks mondiaux, à assurer les approvisionnements aux pays les plus menacés et à encourager la production dans les régions fragilisées, selon les conclusions du sommet de l'UE.
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20 h 40 : France, Turquie et Grèce vont mener une "opération humanitaire" d'évacuation de Marioupol
La France, la Turquie et la Grèce vont mener "une opération humanitaire" d'évacuation "dans les tout prochains jours" de la ville assiégée de Marioupol, dans le sud de l'Ukraine, a annoncé le président français Emmanuel Macron.
"Nous allons en lien avec la Turquie et avec la Grèce lancer une opération humanitaire pour évacuer toutes celles et ceux qui souhaitent quitter Marioupol", a-t-il déclaré à l'issue d'un sommet européen à Bruxelles, précisant devoir s'entretenir sur le sujet avec le président russe Vladimir Poutine "d'ici 48 à 72 heures".
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20 h 25 : Poutine signe une loi réprimant les "mensonges" sur l'action de Moscou à l'étranger
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi soir une loi réprimant de peines de prison pouvant aller jusqu'à quinze ans les "informations mensongères" sur l'action de Moscou à l'étranger, arme répressive supplémentaire pour contrôler l'information sur son offensive en Ukraine.
Ce texte, dont la signature présidentielle marque l'entrée en vigueur, punit la "diffusion publique d'informations sciemment fausses sous couvert d'informations fiables" à propos des "activités des organes de l'État russe en dehors du territoire russe".
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20 h 20 : contre-offensive ukrainienne sur Kherson, dont le contrôle par les Russes est "contesté"
Les forces ukrainiennes ont lancé une contre-offensive sur la ville de Kherson (sud), seul centre urbain majeur conquis entièrement par les forces de Moscou, qui est désormais "contestée", a indiqué un haut responsable du Pentagone.
"Les Ukrainiens tentent de reprendre Kherson", a déclaré à la presse ce responsable ayant requis l'anonymat. "Nous ne pouvons dire exactement qui contrôle Kherson, mais le fait est qu'elle n'est plus aussi solidement sous contrôle russe qu'auparavant."
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20 h 00 : l’UE s'entend sur des achats communs de produits énergétiques
Les dirigeants des 27 réunis jeudi et vendredi à Bruxelles ont donné mandat à la Commission européenne pour faire de l'achat commun de produits énergétiques et réfléchir à une meilleure dissociation des prix du gaz et de l'électricité, a déclaré Emmanuel Macron.
"L'achat groupé, la capacité à définir ensemble des contrats longs est le meilleur instrument pour faire baisser le prix de notre gaz", a déclaré le président français lors d'une conférence de presse à Bruxelles.
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19 h 50 : les 27 réitèrent leur soutien à l'Ukraine
Le président français, Emmanuel Macron, s'est exprimé au terme du triple sommet à Bruxelles, sur la guerre en Ukraine. Le Président a réitéré le soutien de l'Union européenne à l'Ukraine "sans rentrer dans la cobélligérance".
Le chef de l'État français a également insisté sur l'importance de réduire la dépendance des pays de l'Union aux ressources énergétiques russes et sur la nécessité de "construire une autonomie stratégique". Emmanuel Macron a affirmé au cours de son allocution que la priorité pour l'UE et de la France était de "maîtriser notre approvisionnement et nos prix".
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19 h 19 : l'organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern) durcit les sanctions contre la Russie
Le Cern, l'organisation européenne pour la recherche nucléaire qui héberge à Genève le plus grand accélérateur de particules au monde, a durci vendredi les sanctions envers la Russie, en riposte à l'invasion militaire de l'Ukraine.
Le 8 mars, les 23 États membres du Cern avaient suspendu "jusqu'à nouvel ordre" le statut d'observateur que possédait la Russie pour ce qui concerne l'accélérateur de particules LHC (Large Hadron Collider), un immense anneau de 27 kilomètres enfoui sous terre à la frontière franco-suisse.
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19 h 09 : pour Biden, le courage des Ukrainiens face aux Russes rappelle Tiananmen
Le président américain, Joe Biden, en visite officielle en Pologne, a salué le courage du peuple ukrainien qui selon lui rappelle les événements de la place Tiananmen [en Chine en 1989], et répété que selon lui Vladimir Poutine était un "criminel de guerre".
Louant le "courage" et la "résilience" du peuple ukrainien, Joe Biden, depuis Rzeszow, à 80 kilomètres de la frontière avec l'Ukraine, a fait le rapprochement suivant.
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18 h 44 : le centre de commandement des forces aériennes ukrainiennes frappé par des missiles russes
Le centre de commandement des forces aériennes ukrainiennes, à Vinnytsia (centre du pays), a été frappé par une salve de missiles de croisière russes, qui ont provoqué des "dommages significatifs" selon l'armée ukrainienne.
"Les Russes ont tiré six missiles de croisière. Certains ont été abattus par la défense antiaérienne. Les autres ont touché plusieurs bâtiments, causant des dommages significatifs", a annoncé le commandement des forces aériennes sur Telegram.
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18 h 00 : le pape préside une cérémonie pour l'Ukraine et la Russie, en proie à une guerre "odieuse"
Le pape François a condamné la "guerre odieuse" contre "nos frères ukrainiens sans défense", lors d'une cérémonie consacrée à l'Ukraine et à la Russie au Vatican.
"Ces jours ci, […] les bombes détruisent les maisons de beaucoup de nos frères ukrainiens sans défense", a déclaré le souverain pontife argentin lors de ce service religieux à la basilique Saint-Pierre de Rome, avant de confier l'Ukraine et la Russie à la Vierge Marie.
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17 h 06 : la France convoque l'ambassadeur de Russie pour des caricatures "inacceptables"
L'ambassadeur de Russie à Paris a été convoqué au Quai d'Orsay après la publication de caricatures sur son compte Twitter jugées "inacceptables" par la diplomatie française.
"Nous nous efforçons de maintenir un canal de dialogue exigeant avec la Russie", mais ces "agissements sont parfaitement inappropriés", a déclaré le ministère des Affaires étrangères, en référence notamment à un dessin montrant les Européens à genoux léchant les fesses de l'Oncle Sam.
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L'armée russe s'enlise-t-elle ? L'analyse d'Elena Volochine
Le ministère russe de la Défense a annoncé vendredi que la première phase de son offensive en Ukraine était terminée et que ses forces allaient désormais se concentrer sur le Donbass. L'armée russe est-elle en train de s'enliser ? Elena Volochine, correspondante de France 24 en Russie pendant dix ans, décrypte cette annonce.
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14 h 44 : les pourparlers russo-ukrainiens font du "surplace" sur les points clés
Les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine font du "surplace" sur les principaux points, a déploré le négociateur en chef de Moscou, tout en soulignant un rapprochement sur des aspects moins importants. De son côté, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a estimé que les négociations avec la Russie étaient "très difficiles", démentant tout accord avec Moscou.
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14 h 15 : plus de 3,7 millions de réfugiés, mais le flux ralentit
Près de 3,7 millions de personnes ont fui l'Ukraine et les combats déclenchés par l'invasion de l'armée russe le 24 février, selon le décompte de l'ONU publié vendredi, qui confirme le ralentissement du nombre de passages ces derniers jours.
Au total, plus de 10 millions de personnes, soit plus d'un quart de la population du pays, ont dû quitter leur foyer.
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14 h 07 : la Russie dit vouloir se concentrer sur le Donbass
Le ministère russe de la Défense a indiqué que ses forces allaient désormais se concentrer sur une "libération" complète du Donbass, région de l'est de l'Ukraine, précisant qu'il s'agissait d'une des options de départ de leur "opération spéciale", l'autre étant la conquête de l'ensemble de l'Ukraine, rapporte l'agence russe Interfax.
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14 h 04 : Joe Biden est arrivé en Pologne
Le président américain Joe Biden a atterri à Rzeszow en Pologne, à 100 km de la frontière avec l'Ukraine.
Durant les premières heures de sa visite de deux jours en Pologne, M. Biden doit rencontrer notamment des soldats américains stationnés dans cette ville, avant de gagner Varsovie pour des entretiens avec les dirigeants polonais et une visite dans un centre d'accueil de réfugiés ukrainiens qui ont fui l'invasion russe de leur pays.
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14 h 02 : l'armée russe admet 1 351 morts en Ukraine
La Russie a reconnu la mort de 1 351 de ses soldats depuis le début de son offensive militaire en Ukraine il y a un mois, accusant les pays occidentaux de commettre une "erreur" en livrant des armes à Kiev.
"Lors de l'opération militaire spéciale, 1 351 militaires ont été tués et 3 825 blessés", a déclaré l'adjoint au chef de l'état-major des armées Sergueï Roudskoï lors d'un point de presse. Par ailleurs, la Russie a accueilli 419 736 réfugiés d'Ukraine depuis le début de l'opération, selon Mikhaïl Mizintsev, directeur du Centre national russe de gestion de la défense.
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13 h 42 : les États-Unis "n'ont pas l'intention d'utiliser des armes chimiques quelles que soient les circonstances"
Les États-Unis "n'ont pas l'intention d'utiliser des armes chimiques quelles que soient les circonstances", c'est-à-dire même si la Russie en emploie en Ukraine, a assuré le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan, à bord d'Air Force One.
Lors d'un échange avec la presse, il a cependant prévenu que Moscou payerait "un prix très élevé" en cas d'utilisation d'armes chimiques, clarifiant des propos de la veille du président Joe Biden qui avait promis une "réponse" dans un tel scénario, mais en restant évasif sur la "nature" de cette riposte.
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13 h 34 : Poutine compare les sanctions contre le monde de la culture russe aux autodafés nazis
Le président russe Vladimir Poutine a comparé la déprogrammation dans les pays occidentaux de personnalités et d'événements culturels russes aux autodafés orchestrés par les nazis.
"La dernière fois, ce sont les nazis en Allemagne, il y a près de 90 ans, qui ont mené une telle campagne de destruction d'une culture indésirable. On se souvient bien des images des livres brûlés sur les places publiques", a-t-il dit, lors d'une rencontre avec des personnalités de la culture.
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13 h 15 : interruption des derniers trains reliant la Russie à l'UE
La compagnie ferroviaire finlandaise VR a annoncé l'interruption, à partir du dimanche 27 mars, du trafic sur la ligne reliant Saint-Pétersbourg et Helsinki, où circulent les derniers trains permettant aux Russes de rejoindre l'Union européenne.
Malgré les sanctions européennes, la Russie et la fermeture de la plupart des liaisons aériennes et terrestres, cette liaison avec la Finlande avait été maintenue pour permettre à des citoyens finlandais ou russes - seules nationalités autorisés à embarquer - de quitter la Russie.
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12 h 41 : premier décès en territoire russe rendu public par la Russie
Un aumônier militaire a été tué par de tirs ukrainiens de roquettes "Smertch" sur Jouravliovka, un village frontalier russe non loin de la ville ukrainienne de Kharkiv en proie à de violents combats, a annoncé l'Eglise orthodoxe. Il s'agit du premier mort en territoire russe suite à des tirs ukrainiens, qui a été rendu public depuis le début de l'offensive en Ukraine.
Jouravliovka, dans la région russe de Belgorod, est située à tout juste 2 km de la frontière ukrainienne et à moins de 30 km de Kharkiv. Les 23 et 24 mars des obus ukrainiens étaient déjà tombés sur Jouravliovka et le village voisin de Nekhoteevka, détruisant des maisons et des voitures sans faire de victime. Dans la foulée, 196 habitants avaient été évacués, selon l'agence publique TASS.
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11 h 19 : l'Ukraine demande à l'UE de fermer ses frontières avec la Russie et la Biélorussie
Le ministère des Infrastructures ukrainien a demandé à l'Union européenne de fermer ses frontières avec la Russie et la Biélorussie, pays allié de Moscou dans l'invasion menée par l'armée russe en Ukraine depuis un mois.
Il juge ces "mesures nécessaires" pour "arrêter la fourniture au pays agresseur de biens à double usage pouvant être utilisés à des fins militaires".
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10 h 45 : quatre civils tués à Kharkiv
Un bombardement russe sur un centre médical de Kharkiv, dans l'Est de l'Ukraine, a fait quatre morts et au moins trois blessés, a annoncé vendredi la police régionale de la deuxième ville du pays.
"Sept civils ont été blessés dont quatre ont succombé à leurs blessures dans un bombardement aux lance-roquettes multiples", a indiqué la police sur sa chaîne Telegram, précisant que la frappe avait eu lieu "vers 05 h 45 GMT" sur "un centre médical" dans le Sud de Kharkiv.
La police régionale a précisé qu'un "centre d'aide humanitaire" se trouvait non loin de ce centre médical, où "il n'y a pas d'installations militaires à proximité", selon elle.
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10 h 15 : une "task force" américano-européenne pour réduire la dépendance européenne au gaz russe
Les États-Unis et l'Union européenne se sont mis d'accord sur un plan conjoint visant à réduire la dépendance de l'Europe envers les énergies fossiles russes, en raison de la guerre menée par Moscou en Ukraine.
Les États-Unis s'efforceront de fournir à l'Europe 15 milliards de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel liquéfié (GNL) cette année, dans le cadre de cette initiative dévoilée par le président américain Joe Biden et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
Joe Biden a affirmé que c'était une "opportunité" pour "mobiliser des investissements pour les objectifs de neutralité climatique" et "tirer partie des énergies renouvelables".
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10 h 10 : près de 300 morts redoutées dans la frappe du théâtre de Marioupol
Environ 300 morts sont redoutées dans le théâtre de Marioupol bombardé par l'aviation russe le 16 mars alors que des centaines de personnes y étaient abritées, a annoncé la mairie de la ville, citant des témoins.
"Des témoins ont des informations selon lesquelles environ 300 personnes sont mortes au théâtre dramatique de Marioupol à la suite d'un bombardement par un avion russe [le 16 mars]. Jusqu'au bout, on ne veut pas croire à cette horreur. Jusqu'au bout, on veut croire que tout le monde est sauf. Mais les témoignages de ceux qui se trouvaient à l'intérieur du bâtiment au moment de cet acte terroriste disent le contraire", écrit la mairie de Marioupol sur son compte Telegram.
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9 h 45 : des conversations entre militaire russes révèlent un manque de moyen, selon l'armée ukrainienne
D’après l’armée ukrainienne, les forces russes sont confrontées à des problèmes logistiques. Des failles révélées par des communications non cryptées entre des soldats russes, interceptées par l’armée ukrainienne. Sur ces enregistrements diffusé par nos confrère de France 2, les Russes se plaignent de manquer de fuel, d’eau et de nourriture, mais aussi de matériel militaire de base, comme des gilets par balle.
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8 h 48 : la Russie dit avoir détruit la plus grande réserve de carburant de l'armée ukrainienne
Les forces armées russes ont détruit un important dépôt de carburant à proximité de Kiev avec des missiles de croisière, a déclaré vendredi le ministère russe de la Défense. Le porte-parole du ministère, Igor Konashenkov, a déclaré lors d'un point de presse que la frappe - des missiles de croisière Kalibr tirés depuis la mer - avait eu lieu jeudi soir. Le dépôt visé était utilisé pour approvisionner les forces armées ukrainiennes dans le centre du pays, a-t-il ajouté. Reuters n'a pas pu vérifier ces informations de manière indépendante.
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8 h : nuit calme à Kiev, combats à Vasylkiv
La nuit a été "relativement tranquille" à Kiev, rapporte notre envoyé spécial à Kiev, mais les combats continuent autour des villes satellites de la capitale, en direction du Nord-Ouest.
Des combats importants ont eu lieu au sud-ouest de Kiev, à proximité de Vasylkiv, selon un conseiller du ministère de l’Intérieur ukrainien qui s’est exprimé à la télévision ukrainienne.
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6 h 30 : Joe Biden se rend en Pologne, près de la frontière ukrainienne
Joe Biden est attendu dans la ville polonaise de Rzeszow, à environ 80 kilomètres de la frontière avec l'Ukraine, seconde étape de son voyage en Europe. Il sera reçu par le président polonais Andrzej Duda à l'aéroport de cette ville située à deux heures et demie de route de Lviv, principale ville de l'ouest de l'Ukraine, où affluent les réfugiés.
Il recevra ensuite un briefing sur "la réponse humanitaire afin d'apaiser la souffrance des civils en Ukraine et de répondre au flux croissant de réfugiés qui fuient la guerre que (Vladimir) Poutine a choisie", a précisé la Maison Blanche.
Joe Biden ira à la rencontre de soldats américains positionnés dans cette région, faisant partie des plus de 100 000 militaires américains actuellement présents en Europe. Il ira ensuite à Varsovie, où il prononcera un discours "sur les efforts unis du monde libre pour soutenir le peuple ukrainien" et "tenir la Russie responsable de sa guerre brutale", selon la Maison Blanche.
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6 h : l'ex-président russe affirme que les sanctions occidentales n'influenceront pas le Kremlin
Il serait "insensé" de croire que les sanctions occidentales contre les entreprises russes pourraient avoir un quelconque effet sur le gouvernement de Moscou, a rapporté vendredi l'agence de presse russe RIA, citant l'ancien président russe Dmitri Medvedev. Les sanctions renforceront la société russe et ne causeront pas de mécontentement de la population vis-à-vis des autorités, a déclaré Dmitri Medvedev.
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5 h 50 : V. Zelensky salue "l'opposition héroïque du peuple ukrainien
Dans sa dernière vidéo publiée sur Facebook, dans la nuit de jeudi à vendredi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, retranché à Kiev, rend hommage à "l'opposition héroïque du peuple ukrainien face à l'invasion militaire russe".
En un mois de guerre, des milliers d'Ukrainiens ont été tués, dont 121 enfants, 6,5 millions ont dû quitter leur maison, et plus de 4 300 d'entre elles ont été détruites, selon un dernier bilan du président Zelensky.
Pour retrouver le fil des événements en Ukraine du 24 mars 2022, cliquez ici.