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Dans la presse ce vendredi 7 juillet : les tensions entre l'Iran et le Royaume-uni après la saisie d'un pétrolier, le combat mémoriel de l'extrême droite en Allemagne et le "Beijing Bikini".

La presse britannique s'empare ce vendredi matin de l'arraisonement d'un pétrolier iranien par la marine britannique près de Gibraltar. The I met cet incident à sa une et parle d'une impasse entre le Royaum-Uni et l'Iran.

Pour The Financial Times, cette opération visait à faire respecter les sanctions frappant la Syrie, et non l'Iran, et pour cause : ce pétrolier faisait route vers la Syrie. Le quotidien s'inquiète : cet incident pourrait compliquer encore un peu plus les efforts diplomatiques pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien.

Le Figaro, de son côté, nous livre un reportage inquiétant. En Allemagne, des militants d'extrême droite se greffent aux visites des anciens camps nazis. Leur but : remettre en cause la réalité de l'Holocauste et son ampleur. Ces offensives mémorielles sont de plus en plus fréquentes. Le Figaro nous rappele que l'arrivée du parti d'extrême droite, l'AfD, au Parlement allemand a repoussé les limites du débat public sur le sujet.

Enfin, The Washington Post nous livre cette information suprenante. À Pékin, les hommes ne peuvent pas relever leur t-shirt et dévoiler leur ventre. Cette pratique, baptisée le "Beijing Bikini" et encouragé par la médecine traditionnelle chinoise, est surtout pratiqué par les hommes âgés. Pourtant, les autorités chinoises veulent lutter contre ce phénomène au nom de la bienséance. Après avoir déjà interdit les crachats, certaines villes distribuent déjà des amendes – près de 30 dollars pour un ventre visible.