En 1986, Mehdi Charef recevait le César du meilleur premier film pour "Le Thé au harem d'Archimède". Vingt-quatre ans plus tôt, il débarquait en France et s’apprêtait à vivre une partie de son enfance dans un bidonville aux portes de Paris. Dans "Rue des Pâquerettes" le réalisateur raconte pour la première fois son enfance, loin de son Algérie natale. Une réflexion sur l'absurdité et la violence de l'exil.