
Une minute de silence doit être observée ce vendredi soir, au Stade de France, en hommage aux victimes des attaques jihadistes du 13 novembre. La France entame ainsi un week-end de commémoration que les associations ont souhaité sobre, un an après les pires attentats qu'ait jamais connus le pays.
Au-delà des blessures physiques, les attentats du 13-Novembre ont laissé des séquelles psychologiques lourdes chez les rescapés, comme le syndrome de stress post-traumatique. Un syndrome bien connu des soldats qui rentrent de pays en guerre.
Nos reporters sont allés à la rencontre de celles et de ceux qui vivent ces événements dans leur chair et dans leur mémoire.