Les salariés du site d’Alstom à Belfort devraient avoir de beaux jours devant eux. L'État s'est engagé à préserver l'activité de ce site hautement symbolique qui a vu naître le TGV dans les années 1970. Ces derniers jours, le dossier Alstom était devenu l'enjeu d'une bataille politique sur la désindustrialisation des territoires. Finalement la commande publique va permettre de préserver 400 postes à Belfort. Mais s’agit-il d’une solution miracle ou d’un report temporaire du problème?