Jean-Christophe Cambadélis était l'invité de "Mardi politique" sur RFI. Le premier secrétaire du Parti socialiste s'est félicité que Nicolas Sarkozy ait "pris position en disant non au FN" pour la législative partielle disputée du Doubs.
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a vu mardi 3 février une "avancée républicaine" dans l'appel de Nicolas Sarkozy à dire non au Front national. Jean-Christophe Cambadélis a en outre plaidé pour "reconstruire les digues" autour du FN.
Que l'ancien président de la République "abandonne le ni-ni, c'est bien, dans le sens où il dit non au Front national et il ne met pas le Parti socialiste sur le même plan que le Front national, ce qui, moralement, était quand même un sujet", a souligné le responsable socialiste dans l'émission "Mardi politique" sur RFI en partenariat avec France 24 et "Libération".
"Le fait qu'il y ait d'abord une prise de position disant non au FN est à enregistrer. C'est un élément commun. On retrouve une convergence entre les partis républicains sur ce sujet", a ajouté Jean-Christophe Cambadélis.
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