Le festival "Visa pour l'image" a décidé de mettre en lumière la part d'ombre du Venezuela, à travers l'œil de Sebastián Liste, parti dans la prison auto-gérée de Villa Hermosa, et celui Jorge Silva, qui a gravi la "favela verticale", à Caracas.
Le festival "Visa pour l'image" a décidé de mettre en lumière la part d'ombre du Venezuela, à travers l'œil de Sebastián Liste, parti dans la prison auto-gérée de Villa Hermosa, et celui Jorge Silva, qui a gravi la "favela verticale", à Caracas.