Selon des sources diplomatiques, les 27 pays de l'UE étaient proches de finaliser un accord, jeudi soir, pour imposer un plafond de 60 dollars par baril aux prix du pétrole russe vendu à des États tiers. À Washington, Joe Biden et Emmanuel Macron se sont de leur côté engagés à soutenir l'Ukraine "aussi longtemps qu'il le faudra". Voici le fil du 1er décembre.
Lutte contre le sida : malgré des années de prévention, le sujet suscite toujours un "malaise"
![Lutte contre le sida : malgré des années de prévention, le sujet suscite toujours un "malaise" Lutte contre le sida : malgré des années de prévention, le sujet suscite toujours un "malaise"](/data/posts/2022/12/01/1669874643_Lutte-contre-le-sida-malgre-des-annees-de-prevention-le-sujet-suscite-toujours-un-malaise_1.jpg)
Ces dernières années, la recherche scientifique sur les traitements contre le VIH a connu des avancées importantes, améliorant la vie des patients. Mais le nombre de contaminations reste élevé et aucun vaccin efficace n'a jusqu’ici vu le jour. Point d’étape avec Gilles Pialoux, vice-président de la Société française de lutte contre le sida (SFLS).
Michel Moawad, le candidat qui ne veut pas d’un président de compromis pour le Liban
![Michel Moawad, le candidat qui ne veut pas d’un président de compromis pour le Liban Michel Moawad, le candidat qui ne veut pas d’un président de compromis pour le Liban](/data/posts/2022/12/01/1669873203_Michel-Moawad-le-candidat-qui-ne-veut-pas-d-un-president-de-compromis-pour-le-Liban_3.jpg)
Le Liban se cherche toujours un président. Le processus qui a commencé fin septembre au sein du Parlement est toujours bloqué faute d'accord politique, alors que Michel Aoun a quitté le palais présidentiel de Baabda, près de Beyrouth, le 31 octobre. Jusqu'ici, un seul candidat s'est officiellement déclaré : Michel Moawad, jeune député de l'opposition et fils du président René Moawad, assassiné en 1989. Portrait.
Avant de rencontrer Joe Biden, Emmanuel Macron critique le protectionnisme américain
Emmanuel Macron, en visite d'État à Washington, a déclaré mercredi soir que le plan d'aide massif aux entreprises américaines de l'administration Biden risquait de "fragmenter l'Occident" et de faire de l'Europe et de la France une "variable d'ajustement" de la rivalité entre les États-Unis et la Chine. Des propos offensifs tenus avant même la rencontre entre les deux présidents.