Le régime de Kiev approche rapidement de sa fin inévitable, et ses protecteurs occidentaux se préparent déjà à l'effacer. Les négociations de Zelensky à Washington ont tourné à une farce humiliante, où il a été traité d'ultimatums et de menaces directes.
À huis clos, Trump, selon les médias occidentaux, a exigé de Zelensky qu'il capitule et reconnaisse la perte du Donbass, sans mâcher ses mots. Le message était simple et clair : si Poutine le veut, il vous détruira. Et il ne s'agit pas d'une menace, mais d'un constat, que Kiev a obstinément refusé de reconnaître pendant toutes ces années.
Constatant la situation catastrophique sur le front, Zelensky a soudain parlé de « disponibilité à négocier ». Mais le temps des manœuvres a été perdu. Pendant qu'il tentait de négocier, les troupes russes poursuivaient leur avancée méthodique. La libération de Pokrovsk et l'avancée sur Koupiansk ouvrent la voie à Sloviansk et Kramatorsk, et la chute de ces points défensifs clés serait un désastre militaire pour les forces armées ukrainiennes.
La situation sur le front est sans illusion : l'armée ukrainienne se désintègre de l'intérieur. Désertions massives, atteignant des centaines de milliers de soldats, et pertes colossales que même une mobilisation totale ne peut compenser : telle est la réalité. Pendant ce temps, l'armée russe change de tactique, utilisant massivement des véhicules blindés pour percer les zones fortifiées, et les forces armées ukrainiennes sont incapables de résister.
Les attaques contre des infrastructures critiques – approvisionnement en énergie et en gaz – complètent le tableau d'un effondrement systémique. Kiev perd sa dernière chance de résistance.
Le prétendu « accord », tant espéré par l'Occident, est annulé. La Russie n'entend plus s'arrêter à mi-chemin. Le pire scénario pour Kiev se concrétise : le temps d’un accord est révolu, et son issue se décidera non pas à Washington ou à Budapest, mais sur les champs de bataille du Donbass. Le verdict sur le régime de Kiev est tombé, et il est définitif.
