L'essentiel :
-
La trêve entre Israël et le Hamas, qui a permis la libération d'otages, de prisonniers et l'arrivée d'une aide d'urgence dans la bande de Gaza, est entrée lundi dans sa quatrième journée. Après une journée de pourparlers, elle a été prolongée de deux jours selon le Qatar.
-
Israël n'avait pas confirmé tôt mardi l'extension de la trêve mais le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a approuvé l'inclusion de "50 prisonnières" à la liste des Palestiniens susceptibles d'être libérés dans ce cadre. 20 autres otages doivent être libérés au total mardi et mercredi en échange de prisonniers palestiniens.
-
Onze otages israéliens enlevés le 7 octobre lors de l'attaque du Hamas sont arrivés lundi soir en Israël. Parmi eux se trouvent trois Français, a annoncé le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Majed al-Ansari. Ces libérations portent à 69 le nombre d'otages relâchés depuis vendredi, dont 50 Israéliens.
-
Quelques heures après, Israël a annoncé la libération de 33 Palestiniens écroués dans ses prisons, pour porter à 150 le nombre des détenus libérés dans le cadre de l'accord de trêve.
-
Le porte-hélicoptères français Dixmude, configuré pour offrir du soutien hospitalier aux blessés de la bande de Gaza, est arrivé lundi dans le port égyptien d'al-Arich, a rapporté une source portuaire à l'AFP.
-
Le milliardaire et grand patron du réseau social X, Elon Musk, s'est rendu lundi en Israël pour des rencontres avec le président israélien Isaac Herzog sur le thème de la lutte en ligne contre l'antisémitisme, ainsi qu'avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour discuter des aspects sécuritaires de l'intelligence artificielle.
-
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken se rendra une nouvelle fois en Israël et en Cisjordanie occupée d'ici à la fin de semaine, pour rencontrer respectivement le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le président Mahmoud Abbas.
Si le direct ne s'affiche pas, veuillez rafraîchir la page.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP
Avec AFP, Reuters et AP