![Sénégal : des violences éclatent après la condamnation d'Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme Sénégal : des violences éclatent après la condamnation d'Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme](/data/posts/2023/06/01/1685654882_Senegal-des-violences-eclatent-apres-la-condamnation-d-Ousmane-Sonko-a-deux-ans-de-prison-ferme.jpg)
Des violences ont éclaté jeudi à Dakar et au Sénégal après la condamnation de l'opposant sénégalais Ousmane Sonko, accusé de viols, à deux ans de prison ferme pour "corruption de la jeunesse", une peine qui compromet encore davantage sa candidature à la présidentielle de 2024. Il est présumé être bloqué par les forces de sécurité chez lui dans la capitale, "séquestré" selon lui. Il peut désormais être arrêté "à tout moment", selon le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall.
Également au sommaire de cette édition :
Visite en RD Congo du procureur de la Cour pénale internationale. Karim Khan a demandé la fin des violences dans l'Est du pays où il préconise une autre manière de travailler avec les communautés locales afin de lutter contre les crimes de guerre. Aurélie Bazzara-Kibangula nous en dit plus.
Les sept pays de la Communauté d'Afrique de l'est (EAC) ont annoncé avoir prolongé jusqu'à septembre le mandat de leur force militaire chargée de réduire les violences dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). Critiquée par Kinshasa, elle est composée de soldats kényans, ougandais, burundais et sud-soudanais. Cette force a été déployée graduellement depuis novembre dernier en réponse à une avancée des rebelles du M23 dans cette région en proie aux groupes armés depuis près de 30 ans.
La polémique au Zimbabwe concernant une loi dite patriotique et qui criminalise toute atteinte à la souveraineté. Un texte aux contours flous jugé liberticide par l'opposition et les ONG.
En Éthiopie, les chants liturgiques et les prières sont exclusivement dirigés à partir de manuscrits retranscris sur des parchemins, et non sur du papier. Mais cette tradition est en voie de disparition .
Cheffe d'édition : Célia Caracena