En ce vendredi 15 mars, la presse se demande comment l'Union européenne et le Royaume-Uni vont négocier le report du Brexit. Également au programme : les jeunes du monde entier en grève scolaire pour le climat et les auteurs français ont, eux aussi, droit à leur mercato, façon footballeurs.
"Donnez-lui juste un peu plus de temps" : c’est la une mi-sarcastique, mi-ironique du quotidien britannique Metro. Jeudi, la Chambre des communes a voté en faveur d’un report de la date du Brexit, prévu le 29 mars. Politico rappelle qu’il appartient aux dirigeants des 27 d’accorder, à l’unanimité, cette prolongation. Le dessinateur suisse Patrick Chappatte s'empare du sujet dans The New York Times et se demande à quoi joue Theresa May, la cheffe du gouvernement britannique.
La jeunesse mobilisée face à l’urgence climatique : ce vendredi, "dans plus de 100 pays et au moins 1 600 villes du monde, de l’Argentine à l’Iran, en passant par le Bangladesh, la Chine ou le Nigeria, les jeunes sont appelés à massivement faire grève pour le climat", souligne Le Monde. Ils suivent l’initiative de l'adolescente suédoise Greta Thunberg. "Aujourd’hui, nos enfants nous font face et nous demandent des comptes", est-il écrit dans le quotidien suisse Le Temps.
"Comme avec les stars du football, les meilleurs auteurs font l’objet de transferts d’une maison d’édition à l’autre, à coups de millions. Un mercato qui se poursuit au Salon du livre", qui se tient jusqu'à lundi à Paris. Le Parisien-Aujourd'hui en France entraîne ses lecteurs dans les secrets de "la plus grande librairie de France".