
La réforme constitutionnelle, qui prévoyait l'inscription dans la Constitution de l’état d'urgence et de la déchéance de la nationalité, a finalement été abandonnée ce mercredi, le 30 mars. Et ce, après quatre mois d'intenses débats. Depuis l'annonce de cet abandon, gauche et droite se rejettent la faute. Pourquoi un tel échec ? Quelles conséquences pour François Hollande à un peu plus d'un an de la présidentielle ?
Une émission préparée par Anthony Saint-Léger, Pauline Heilmann et Kim Vo Dinh.