A Minsk, il aura fallu 16 heures de négociations éprouvantes pour parvenir à un accord à minima. Les russes sont repartis avec le sentiment que l'essentiel est acquis. Du côté ukrainien, on est beaucoup moins optimistes. Si François Hollande, lui, s'est félicité du rôle moteur du couple franco-allemand dans ces négociations, Angela Merkel quant à elle, considère que "cet accord n'est pas une solution globale" et que le chemin de la paix est encore long...