Alors qu'on annonçait imminente une opération militaire occidentale en Syrie, la décision de Barack Obama de s'en remettre à un vote du Congrès a pris tout le monde de court. Retardant l'intervention internationale, le choix du président des États-Unis ouvre la possibilité d'un scénario à la britannique. Qui peut garantir, en effet, que le Congrès votera en faveur de frappes contres le régime de Damas ?
Notre invité, J. Adam Ereli, espère que le Congrès accordera son feu vert à l'intervention et explique pourquoi un vote négatif serait un désastre.