
La monnaie européenne, "trop forte" pour François Hollande, symbolise au contraire un retour à la confiance pour Mario Draghi, le patron de la Banque centrale européenne. L'euro fort pénalise les exportations françaises...pas celle de l'Allemagne, qui ne voit pas le taux de change comme un facteur clé de la compétitivité.
Pour en parler, Stéphanie Antoine reçoit :
- Karine Berger, députée PS et économiste
- Philippe Dessertine, directeyur de l'Institut de haute finance
- Pierre Khalfa, co-président de la Fondation Copernic
- Alexander Graf Lambsdorff, eurodéputé allemand, Libéraux et démocrates (en duplex de Bruxelles)