logo

Contrairement à ce qui avait été annoncé dans la matinée, le parquet tunisien dément avoir fait appel du non-lieu prononcé en faveur d'une jeune femme violée par des policiers puis poursuivie en première instance pour "atteinte à la pudeur".

Le parquet tunisien n'a pas fait appel de la décision d'abandonner les poursuites pour atteinte à la pudeur contre une jeune femme violée par des policiers, a indiqué lundi à l'AFP, Fadhel Saihi, conseiller du ministre de la Justice.

"Le parquet n'a pas fait appel du non-lieu concernant la femme et son ami", a indiqué M. Saihi, démentant une information annoncée par l'avocate de la victime et confirmée par la suite par un porte-parole du ministère de la Justice.

AFP