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Fatou Diome nous parle de celles qui attendent

Aujourd’hui dans le Journal de la Culture un sujet malheureusement bien connu : l'immigration clandestine. Mais cette fois-ci, non pas du point de vue de ceux qui partent mais de ceux qui restent. Ou plutôt celles qui restent. Dans son quatrième roman, "Celles qui attendent", Fatou Diome rend hommage à ces femmes qui doivent composer avec le vide laissé par un père, un mari ou un fils partis pour cet eldorado incertain qu'est l'Europe.